J’ai toujours aimé prendre des photos, que ce soient des paysages ou des membres de ma famille. Mais je ne m’intéresserais pas pour autant à la photographie. C’est aujourd’hui le cas, et je vais vous expliquer modestement mon parcours photographique, avant que ce hobby ne devienne une passion.1999-2001
Je crois que mon premier rapport à la photographie remonte à l’époque
de mes colonies de vacances, avec évidemment des appareils photo jetables. On se situe donc dans les années 1999 à 2001. J’ai eu la chance de réaliser des voyages de 3 semaines dans différents continents, avec à chaque fois une visite approfondie du pays: Maroc, Espagne et États-Unis (Arizona, Colorado et Utah).
de mes colonies de vacances, avec évidemment des appareils photo jetables. On se situe donc dans les années 1999 à 2001. J’ai eu la chance de réaliser des voyages de 3 semaines dans différents continents, avec à chaque fois une visite approfondie du pays: Maroc, Espagne et États-Unis (Arizona, Colorado et Utah).
À cette époque, je ne faisais que des photos de paysages, je n’aimais pas qu’une personne rentre dans le cadre. Je ne photographiais même pas mes camardes de vacances, tout ce qui m’intéressait étaient les paysages. Aux États-Unis, je suis parti avec deux appareils jetables: un classique (format 4/3 je pense) et un panorama. Ce dernier fût formidable pour les grands espaces de l’Amérique !
2009
C’est finalement en 2009, presque une décennie après, décennie durant laquelle j’ai fais des photos souvenirs, sans aucune prétention artistique, que j’ai doucement commencé à m’intéresser aux possibilités de mon appareil photo (un compact Olympus FE-190).
Cette année là, j’ai vécu pendant 6 mois en Chine (Nanjing) pour mes études. Je suis revenu avec un nombre de photo considérable, dont seulement une poignée doit artistiquement en valoir le coup.
Mais je me rends compte aujourd’hui que j’avais déjà, sans le savoir, quelques notions en photographie. J’appliquais des techniques inconsciemment, telles que la profondeur de champ, la photo de nuit ou en contre-jour:
- La profondeur de champ: mon compact ne me permettais pas de choisir une ouverture du diaphragme (et je ne connaissais pas cette possibilité à cette époque), mais je m’étais aperçu qu’en me rapprochant de mon sujet, et en fonction de la mise au point, je pouvais créer ce flou d’arrière plan.
- Photo de nuit: encore une fois, mon compact étant limité, je n’avais que le pré-réglage « Nuit », impossible de régler la vitesse d’obturation. Je me rendais bien compte que l’appareil mettait plus de temps que d’habitude pour prendre une photo. Ce qui a été confirmé par l’appareil photo de mon ami, qui était alors avec moi, et qui avait la possibilité de choisir sa vitesse d’obturation.
- Photo en contre-jour: à force d’essais, de milliers de photos, je me suis rendu compte qu’une photo en contre-jour n’était pas forcement une photo ratée. D’une part, cela pouvait donner un effet silhouette et apporter du caractère à une image, et d’autre part cela pouvait être rattrapé avec le flash pour les photos de portraits (j’ai donc découvert plus tard que cette technique s’appelait Fill-in)
Après toutes ces explications, voici quelques clichés que j’ai retenu de mon voyage en Chine, et qui illustrent très bien mon propos:
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| Hangzhou (West Lake de nuit) |
2012-20??
Tout reste à écrire….
Je conclurai de cette expérience que les bases de la photographie ne sont pas compliquées. Parfois même, nous les avons en nous sans le savoir. Mais pour les maîtriser, il faut en prendre conscience, savoir qu’elles existent, les approfondir.
« Renforcer une photo avec du texte Pourquoi ne pas acheter de télécommande ? »
