Blog - Page 42 sur 43 - | URBAN PHOTOGRAPHER

#02 Une photo, une histoire

Comme souvent, j’ai passé la journée avec mon frère et ma nièce aujourd’hui. Comme toujours, j’ai embarqué avec moi mon appareil photo, dans l’espoir de ramener quelques bons clichés.

La cible, tout aussi facile qu’habituelle, était ma nièce. J’ai tenté quelques portraits, puis elle s’est mise a se maquiller…

J’ai saisi l’occasion, et c’est à moitié caché que je l’ai mitraillé ! Tellement concentrée sur son activité, elle ne m’a à peine remarqué.

Voyez vous même:

Ready for Tonight (Vitesse: 1/40; Ouverture: 1,8; ISO: 800; Mode Manuel)

Les conditions d’éclairage n’était pas idéales, j’ai donc monté les ISO à 800 en choisissant l’ouverture maximale, soit 1,8.

Sur quelques photos en mode « Priorité à l’ouverture », le boitier m’a proposé une vitesse de 1/400, et mes photos étaient sous exposées. Je n’ai pas compris pourquoi. Je me suis donc mis en mode manuel, en reprenant les mêmes réglages exception faite de la vitesse, que j’ai progressivement réduit jusqu’à 1/40.

Au final, la photo était plutôt bien exposée, pas forcement idéalement, mais je sais où m’améliorer !

on 9 janvier 2013
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by Thomas Benezeth
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#01 Une photo, une histoire
Je fais peu de photo en ce moment, mais je garde un oeil vif et je l’entraîne quotidiennement. Je continue également de lire différents articles, livres ou ebooks.

Justement, c’est encore le travail de Thomas Leuthard qui m’a motivé à faire une petite sortie photographique. Je découvrais son dernier ebook traduit en français (Collecting Souls), dans lequel il explique que pour ne pas rater une belle occasion en photo, il faut être préparé.

Il s’agit là de vérifier les points suivants:
- L’appareil photo doit être allumé et le bouchon de protection ôté (les reflex ne consomment pas beaucoup d’énergie une fois en veille)
- Soyez déjà dans le bon mode (M, A ou S), et ce choix dépend bien sur de ce que vous voulez faire
- Réglez aussi votre méthode de mesure de la lumière
- Soyez à l’aise avec vos collimateurs (vous devez être capable de savoir lequel utiliser en fonction de votre sujet et du cadrage voulu, mais aussi être capable de le sélectionner très rapidement et les yeux fermés, littéralement)
Tout ceci est-il vraiment utile ? Oui ! Je vais vous expliquer pourquoi…

Comme je l’expliquais en début d’article, je suis sorti aujourd’hui pour faire quelques clichés. Comme bien souvent, j’en ai profité pour sortir ma chienne. Grave erreur…. ou pas !

Grave erreur, oui, puisqu’il est presque impossible de se concentrer sur ce qui nous entoure lorsque l’on doit encadrer un chien, même en laisse. Et puis cela nous prive d’une main, du moins de sa totale mobilité.

Mais d’un autre côte, sans mon chien, je n’aurai pu prendre ce cliché:

I’ll be back ! (Vitesse: 1/1000s; Ouverture: 1,8; ISO: 100)

Au premier plan, la tête de ma chienne Caly qui, les yeux rivés sur sa proie, salive devant ce chat perché…

Au second plan donc, se trouve le sujet de toute attention (aussi bien la mienne que celle de Caly).

Pour la petite histoire, c’est Caly qui a reperé ce chat qui, initialement, se trouvait au sol, derrière une voiture. Dès que le face à face a été lancé, le chat s’est précipité sur le premier arbre venu, et heureusement que ma chienne était en laisse…

Pour en revenir aux conseils du photographe Suisse, je les avais suivi à la lettre. Presque, pour être honnête: je n’avais ni allumé mon appareil photo, ni retiré le cache ! Tous les réglages étaient cependant prêts, sauf un… J’aurai du me mettre en mode rafale… Je le ferai la prochaine fois !

Et cette petite erreur m’a fait perdre du temps. J’ai même raté une photo qui, je pense, aurait été sympa: le chat agrippé au tronc de l’arbre, tout tremblotant et affolé, en train d’essayer tant bien que mal de se réfugier sur une branche.

Dommage ! Ce sera pour la prochaine fois ! Les erreurs nous font apprendre. En attendant, je suis tout de même revenu avec un cliché qui me plait, et finalement, n’est ce pas cela le plus important ?
on 3 janvier 2013
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by Thomas Benezeth
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[MAJ] Partageons nos lectures
Avant de vous engager dans une quelconque formation photo, je vous conseille d’user jusqu’au bout ce que l’on trouve sur le web.

Il y a beaucoup de blogs photographiques de qualité, j’en cite quelque uns sur mon blog. Et certains même proposent des ebook gratuitement contre une simple inscription à leur newsletter.

Plusieurs sujets sont traités, de la photo de rue aux paysages, en passant par les bases de la photographie. Sans oublier des techniques de la vie courante (photo de nuit, réglages du reflex, les portraits…).

Je vous conseille donc les livres suivants:
1. Mercredi Pratique de Phototrend: cet ebook est le plus complet de la liste, il regroupe plus de 100 articles du site dédiés aux diverses techniques de la photo. Commencez par celui là.
2. Going Candid: un retour d’expérience d’un photographe professionnel Suisse, Thomas Leuthard. Il fait de la photo de rue en noir et blanc. Il a écrit trois livres, disponibles gratuitement en anglais. Une version de Going Candid a cependant été traduite en français (Lire « Candid Portrait« ).
3. Paysages Naturels et Photographie: encore un très bon livre, n’hésitez pas. De superbes photos.
4. Secrets de Photographe Animaliers: je ne l’ai pas encore lu, mais je suis sur que cela en vaut le coup.
Si vous avez des liens d’ebook à ajouter, les commentaires sont là. Bonnes lectures.

[MAJ]: Collecting Souls, le deuxième livre de Thomas Leuthard, est maintenant disponible en français. Merci à Laurent Breillat qui est à l’origine de ces traductions.
on 21 décembre 2012
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by Thomas Benezeth
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Pourquoi ne pas acheter de télécommande ?

Noël approche à grands pas, les illuminations festives sont là depuis quelques temps déjà. L’idée de capter cette atmosphère si particulière traverse l’esprit de tous photographes, amateurs ou professionnels (Amateurs, professionnels, quelle est la différence ? Des éléments de réponses dans l’article de Anne-Laure Jacquart).

Qui dit photo de guirlandes, dit photo de nuit. Et la photo de nuit implique une vitesse d’obturation lente, pour capter le plus de lumière possible. Il devient alors nécessaire d’utiliser un trépied.

Dans toutes vos lectures, un même conseil vous a été donné sur l’utilisation de cet accessoire: utiliser une télécommande pour ne pas faire trembler l’appareil photo lorsqu’on le déclenche.

Il est vrai que se trimballer avec un trépied qui pèse en moyenne un bon kilo et demi pour éviter le flou de bougé, c’est contraignant. Alors si en plus vous vous retrouvez avec un « flou de déclenchement », j’imagine votre découragement futur…

Cependant, mon avis sur la question diffère de ceux que l’on trouve sur le web. Pourquoi acheter une télécommande alors qu’il suffit d’utiliser une fonction de base de tout appareil photo ?!

« Si vous utilisez un trépied, utilisez le retardateur ! »

J’ai réglé le miens sur 2 secondes. Une fois mon cadrage fait, les réglages prêts, je déclenche: 2 secondes après, durée pendant laquelle l’appareil photo a tout le temps nécessaire pour se stabiliser, la photo est prise, et sera nette !

Utiliser le retardateur vous fera économiser quelques dizaines d’euros et une place supplémentaire dans votre sac pour y glisser une carte mémoire ou une deuxième batterie.

Et vous, utilisez vous cette fonction ?

on 20 décembre 2012
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by Thomas Benezeth
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Mon passé photographique
J’ai toujours aimé prendre des photos, que ce soient des paysages ou des membres de ma famille. Mais je ne m’intéresserais pas pour autant à la photographie. C’est aujourd’hui le cas, et je vais vous expliquer modestement mon parcours photographique, avant que ce hobby ne devienne une passion.

1999-2001

Je crois que mon premier rapport à la photographie remonte à l’époque
de mes colonies de vacances, avec évidemment des appareils photo jetables. On se situe donc dans les années 1999 à 2001. J’ai eu la chance de réaliser des voyages de 3 semaines dans différents continents, avec à chaque fois une visite approfondie du pays: Maroc, Espagne et États-Unis (Arizona, Colorado et Utah).

À cette époque, je ne faisais que des photos de paysages, je n’aimais pas qu’une personne rentre dans le cadre. Je ne photographiais même pas mes camardes de vacances, tout ce qui m’intéressait étaient les paysages. Aux États-Unis, je suis parti avec deux appareils jetables: un classique (format 4/3 je pense) et un panorama. Ce dernier fût formidable pour les grands espaces de l’Amérique !

2009

C’est finalement en 2009, presque une décennie après, décennie durant laquelle j’ai fais des photos souvenirs, sans aucune prétention artistique, que j’ai doucement commencé à m’intéresser aux possibilités de mon appareil photo (un compact Olympus FE-190).

Cette année là, j’ai vécu pendant 6 mois en Chine (Nanjing) pour mes études. Je suis revenu avec un nombre de photo considérable, dont seulement une poignée doit artistiquement en valoir le coup.

Mais je me rends compte aujourd’hui que j’avais déjà, sans le savoir, quelques notions en photographie. J’appliquais des techniques inconsciemment, telles que la profondeur de champ, la photo de nuit ou en contre-jour:
- La profondeur de champ: mon compact ne me permettais pas de choisir une ouverture du diaphragme (et je ne connaissais pas cette possibilité à cette époque), mais je m’étais aperçu qu’en me rapprochant de mon sujet, et en fonction de la mise au point, je pouvais créer ce flou d’arrière plan.
- Photo de nuit: encore une fois, mon compact étant limité, je n’avais que le pré-réglage « Nuit », impossible de régler la vitesse d’obturation. Je me rendais bien compte que l’appareil mettait plus de temps que d’habitude pour prendre une photo. Ce qui a été confirmé par l’appareil photo de mon ami, qui était alors avec moi, et qui avait la possibilité de choisir sa vitesse d’obturation.
- Photo en contre-jour: à force d’essais, de milliers de photos, je me suis rendu compte qu’une photo en contre-jour n’était pas forcement une photo ratée. D’une part, cela pouvait donner un effet silhouette et apporter du caractère à une image, et d’autre part cela pouvait être rattrapé avec le flash pour les photos de portraits (j’ai donc découvert plus tard que cette technique s’appelait Fill-in)
Après toutes ces explications, voici quelques clichés que j’ai retenu de mon voyage en Chine, et qui illustrent très bien mon propos:

Beijing

Hangzhou

Hangzhou

Beijing (levé de soleil sur la Grande Muraille)

Hangzhou (West Lake de nuit)

2012-20??
Tout reste à écrire….

Je conclurai de cette expérience que les bases de la photographie ne sont pas compliquées. Parfois même, nous les avons en nous sans le savoir. Mais pour les maîtriser, il faut en prendre conscience, savoir qu’elles existent, les approfondir.
on 13 décembre 2012
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by Thomas Benezeth
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Renforcer une photo avec du texte

Dans mes lectures quotidiennes sur différents sites de photographie, je suis tombé sur cet ancien billet de Anne-Laure Jacquart: « Le poids des mots, le choc des photos! » (Article remit au goût du jour par Laurent Breillat sur sa page Facebook).

Cette photographe professionnelle nous y explique l’intérêt d’intégrer du texte à nos photos. Il ne s’agit pas d’ajouter du texte, mais bien de capter une scène où un texte est présent, comme l’enseigne d’une boutique ou une publicité…

Je vous invite à lire cet article, il est suffisamment bien écrit, je n’ai pas besoin d’en ajouter. Anne-Laure y livre même quelques exemples, des photos concrètes.

Je ne manquerai pas cependant de vous montrer ma mise en pratique, immédiate:

Nature (Vitesse: 1/40; Ouverture: 1,8; ISO: 800)

J’ai essayé de capter une expression qui corresponde au caractère de ma nièce. Et ce « regard qui tue » me plait bien. À 4 ans, on ne prend pas de pincette lorsque quelqu’un nous embête, on réagi instinctivement, on est nature !

J’ai choisi une ouverture de 1,8 pour capter le plus de lumière possible et détacher mon sujet de l’arrière plan (bien que très peu visible). La scène se déroulant en intérieur, sans lumière artificielle, j’ai monté la sensibilité ISO à 800 pour avoir une vitesse d’obturation acceptable (en dessous de 1/40s avec une focale fixe de 35mm, cela devient difficile d’éviter le flou de bougé).

MAJ: Mon intention première était de partager ce cliché en noir et blanc, mais n’ayant pas mon Mac sur moi à ce moment là, je n’ai pas pu. C’est maintenant chose faite:

Nature (Vitesse: 1/40; Ouverture: 1,8; ISO: 800)

on 12 décembre 2012
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by Thomas Benezeth
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Candid Portrait
C’est en lisant le livre « Going Candid » de Thomas Leuthard, très gentilement traduit en français par Antoine Heudre et offert sur le site de Laurent Breillat, que j’ai eu envie d’essayer la photo de portrait.

Après tout, être amateur en photographie, c’est aussi essayer différents styles pour trouver le sien. Alors pourquoi pas le portrait ?

Thomas Leuthard est un professionnel de cette pratique, il s’est spécialisé dans la photo de rue et donc les portraits « volés », ce qui lui permet d’obtenir des expressions de visages sincères, naturelles et authentiques.

Comme il le dit si bien, sa façon de faire n’est pas donnée à tout le monde. Il faut avoir un culot que je n’ai pas aujourd’hui. Pour preuve, voyez sa façon de faire:

Oseriez vous ?

Si je devais retenir deux conseils tirés de son livre, ce seraient les suivants:
- Débutez avec des sujets faciles. J’entend par là de choisir des sujets qui ne vous regardent pas, qui sont occupés par quelqu’un d’autre ou de choisir une scène avec deux sujets qui discutent.
- Ne croiser pas le regard de vos sujets. Cela peut paraître lâche de fuir après avoir shooté, mais cela rend bien des services. Cette fuite vous évite d’expliquer votre démarche photographique et sauvera certainement quelques clichés.
J’ai donc pris mon courage à deux mains lorsque je suis allé au salon « Saveurs Terroir » à l’hippodrome d’Enghin-Les-Bains.

Armé de mon Reflex, symbole même de l’anti-discrétion, j’ai parcouru les allées du salon à la recherche de scènes intéressantes, telles que des étalages de produits, des commerçants ou des clients. Parfois même, les trois en même temps.

Le fruit de cette séance est maigre, mais j’en suis tout de même satisfait:

French beret (Vitesse: 1/250; Ouverture: 2; ISO: 800)

J’aime beaucoup cette photo, surtout la scène en elle même. On y voit le terroir à travers le béret et les produits étalés.

Trust me, best ham ever (Vitesse: 1/500; Ouverture: 2; ISO: 800)

J’en parlais précédemment, cette photo était plus facile à prendre car elle prend en compte deux sujets qui marchandent, et qui sont donc tous deux occupés. Le but n’est donc pas de capter le regard mais bien une scène de vie.

Auvergnat (Vitesse: 1/500; Ouverture: 2; ISO: 800)

Vous l’attendiez, la voici ! J’ai effectivement réussi à faire un portrait en captant le regard de mon sujet. La différence avec les autres, c’est que ce monsieur était très gentil et surtout très amical, ce qui m’a tout de suite mis à l’aise. Je me suis donc senti capable d’oser ! Et je n’ai pas fuis ! Nous étions en train de discuter tout de même.

Cheese (Vitesse: 1/800; Ouverture: 2; ISO:800)

Si vous n’êtes pas débutant, les données EXIF de mes photos vous auront peut être interloqué. Mes vitesses d’obturation ne descendent pas en dessous de 1/250 seconde, tandis que ma valeur ISO reste calée à 800. Paradoxale non ?

Pour avoir moins de bruits sur mes photos (défaut que j’ai atténué en post-traitement), il aurait été préférable de diminuer la vitesse d’obturation, ce qui m’aurait permit de diminuer la sensibilité ISO. Ne me demandez pas pourquoi j’ai fais le choix de tels réglages, je ne sais pas moi même. Surement l’inexpérience !
on 7 décembre 2012
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by Thomas Benezeth
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Une météo qui donne envie

Ce matin, la météo dans le Val d’Oise n’était pas très clémente avec les photographes. Pourtant, en début d’après midi, le soleil a fait son apparition au milieu des nuages grisonnants, laissant alors passer de furtifs et jolis rayons de soleil.

Idéal pour les amateurs de photos ! Je me suis donc précipité sur mon Reflex, mon chien s’est alors précipité sur moi voyant là une opportunité de sortie.

Cali (Vitesse: 1/4000; Ouverture: 3,2; ISO: 100)

Je me suis rendu dans les vergers de ma ville, où les arbres sont tous différents les uns des autres (feuillu, nu, coloré, fade…).

Sur une trentaine de clichés, voilà les deux que j’ai retenu (en plus de la première en en-tête):

Jeu de lumières (Vitesse: 1/1250; Ouverture: 2,5; ISO: 100)

Tout nu (Vitesse: 1/15; Ouverture: 8; ISO: 100)

Ma préférence va pour la première: j’aime beaucoup ce grand arbre dénué de feuille au milieu de tous les autres, fleuris et colorés. Le jeu de lumière est aussi très intéressant.

En revanche, la deuxième aurai pu facilement être améliorée: en augmentant l’ouverture (c’est à dire en diminuant la valeur, ici le 8 -j’aurai pu prendre par exemple une valeur de 3,5), j’aurai pu obtenir le flou souhaité sur l’arbre au premier plan. La saturation des couleurs me parait également exagéré.

À l’occasion, je referais ces photos dans des conditions météorologique différentes.

on 21 novembre 2012
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by Thomas Benezeth
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