MENU
  • ACCUEIL
  • Galerie
  • À Propos
  • Contact
  • Blog
  • Ebook

  • Rss Feed
  • Flickr
  • Tumblr
  • Twitter
  • Facebook
  • Retour sur la semaine photoblographique

    Si vous n’avez pas pu suivre l’actualité photoblographique au jour le jour, je vous propose de découvrir chaque vendredis soirs mes lectures de la semaine écoulée. Vous retrouverez donc ici tous les articles que j’ai lu ces sept derniers jours, de quoi vous occuper ce week-end 😉
    C’est parti pour la séance de rattrapage !

    TECHNIQUES/ASTUCES

    • T’as un objectif Canon 50mm f/1,8 ? Utilise la sélection manuelle des collimateurs Auto focus – par Ary
    • Choisir son collimateur (Nikon) – par Thomas Benezeth 
    • Photographier la Scandinavie sous la neige – par Madame Oreille
    • [Cycle Strobist] Un cours photo studio pour se former – par Marc Charbonnier
    • 5 conseils pour réussir vos photos du nouvel an chinois – par MonCoursPhoto
    • La macro en 5 questions/réponses – par Fabien de AstucesPhoto, via Laurent Breillat
    • [Trucs et Astuces] Comment réaliser un panorama à 360° en cerf-volant – Partie 1 – par Bonplanphoto
    PHOTOS

    • Shooting chez l’esthéticienne – par Ludiphoto
    • Gatwick, une série épurée de l’aéroport londonien par Lee Mawdsley – par Phototrend
    • Photos du carnaval de Paris 2013 – par DSteiner
    • L’âge de glace – par Regardevoir
    • Surreal Astronaut – par Fubiz
    • Zoom photographe: Martin Parr – par Phototrend
    • VIXI – par PhotoFolle
    • Sélection photo spéciale Saint Valentin – par Bonplanphoto
    • Une photo, une histoire (7.2) – Prem’s (même de nuit) – par Ary
    • Intersection – par PhotoFolle
    • 2D Video Game by Christian Aslund – par Fubiz
    • Peter Jamus Photography – par Fubiz
    • Projet photo 52 « Vivre la photo » – Semaine 7: « Opposés » – par Ary
    LOGICIELS

    • Nouvelle sous-version de Darktable – par Ary
    • Tutoriel Darktable: Ajouter un filigrane (Watermark) – par Ary
    TESTS

    • Test terrain: Nikon D800E (D800) – par Darth
    • [1/2] Prise en main: Télécommande filaire Aputure – par Thomas Benezeth
    AUTRES

    • Quoi de neuf en ce lundi matin ? – par Marc Charbonnier
    • Photographie et handicap auditif – par Aymeric Gobert
    • Photographes apprenez à sélectionner vos photos – par Pyrros
    • Sur le © et le droit d’auteur: je fais un rêve… – par Arnaud Frich
    • Une photo brute: À vous de jouer! – par Darth
    • Revue de Web de la Photographie, Février 2013 – par Pyrros
    Bonnes lectures, et bon week-end !

    on 15 février 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with No Comments
    Read More »

  • [1/2] Prise en main: Télécommande filaire Aputure

    Il y a quelques semaines je vous expliquais pourquoi j’ai choisis de ne pas acheter de télécommande. Aujourd’hui, j’ai changé d’avis: la découverte de certaines techniques m’a permit de comprendre l’utilité de certaines fonctions des télécommandes. Et puis, à travers les commentaires de mon blog, les collègues photographes ont ajoutés des éléments essentiels, que je ne maitrisais pas à l’époque. Merci à vous !
    Bref, tout ça pour dire que j’ai acheté une télécommande, et je vous en propose donc aujourd’hui un premier aperçu.

    La Commande
    J’ai acheté cette télécommande sur ce site, pour 35€ frais de port compris. Commandée le mardi 5 février, je l’ai reçu hier, mercredi 13 février. Huit jours pour recevoir le colis, je trouve que c’est un peu long, mais reste encore acceptable (l’expédition se fait de Chine).

    Le produit étant petit, il a été envoyé dans une enveloppe bien rembourrée. Le colis n’est pas nécessaire.

    Edit: le même produit est vendu 28$ seulement (environ 20€) sur ce site (merci Ary)

    Le Packaging

    L’emballage est constitué d’une simple boîte en carton contenant un bloc de mousse très dense dont l’intérieur a été « creusé » pour reproduire l’empreinte de la télécommande. C’est une technique que l’on retrouve notamment dans l’industrie pour l’approvisionnement des pièces fragiles:

    Packaging du produit

    On retrouve donc la télécommande, les piles et la notice (Anglais ou Chinois). Que dire de plus si ce n’est que le produit est très bien protégé, il est arrivé chez moi en parfait état.

    La Télécommande
    Petit hic, le modèle reçu n’est pas celui présenté sur le site, du moins en terme de visuel. Photo non contractuelle ? Y’a pas photo…

    Voici à quoi ressemble la télécommande que j’ai reçu:

    Télécommande filaire Aputure
    (Timer Remote Cord)

    Les différences sont minimes, on retrouve les mêmes boutons pour les mêmes fonctions. Finalement, la différence n’est qu’une question d’ergonomie: la photo du site montre une télécommande avec une molette sur le côté droit, molette qui est ici remplacée par le pavé central (bouton « Set » et navigation).

    Parlons brièvement des caractéristiques de la télécommande:

    • Elle est grande ! (un peu plus de 15cm)
    • Elle a la fonction intervallomètre: cela permet, pour les boitier qui n’ont pas cette fonction, de prendre des photos de façon automatique, en définissant le nombre de cliché souhaité, le temps de pose et l’intervalle de temps entre deux prises de vue.
    • Elle nécessite deux piles AAA pour la fonction intervallomètre. En revanche, pour un déclenchement manuel, les piles ne sont pas nécessaires.
    • Le bouton permettant de déclencher l’appareil photo manuellement peut se bloquer: idéal pour des temps de pose « infinis ». Un appui à mi-course permet évidemment de faire la mise au point.
    • Un petit bouton permet d’éclairer l’écran de la télécommande pendant environ six secondes, pratique pour les photos nocturnes.
    Je vais maintenant me familiariser avec ce nouvel accessoire. Une fois que je le maitriserais, je reviendrais vers vous pour vous proposer un test bien plus complet ! Affaire à suivre…

    on 14 février 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with No Comments
    Read More »

  • Choisir son collimateur (Nikon)

    Sur son blog, Ary nous explique aujourd’hui comment choisir son collimateur sur un appareil Canon. J’ai trouvé cette idée très bien, et comme j’ai déjà travaillé avec lui sur un sujet d’article, je me permets de reprendre son idée.
    Et puis, cela fait maintenant près de trois mois que je possède mon objectif à focale fixe, et que je sélectionne moi même mon collimateur. J’en ai déjà parlé auparavant, sans pour autant expliquer concrètement comment faire.
    Vous ne savez pas ce qu’est un collimateur ? Pour faire simple, il s’agit d’un point sur lequel la mise au point va être faite. Chaque appareil a un nombre de point qui lui est propre. En mise au point automatique, c’est le boitier qui va choisir lui même quel(s) collimateur(s) sélectionner (donc quel(s) point(s)), tandis qu’en mise au point manuelle, c’est vous le décisionnaire !
    Si vous avez besoin de plus d’explications, lisez l’article de Ary, ou celui de Laurent Breillat.
    Si j’ai choisis de reprendre l’idée d’Ary, c’est pour expliquer aux Nikonistes comment choisir un collimateur.
    Pour cela, il suffit de ne pas être en mise au pont automatique. Il y a donc une option automatique, et toutes les autres, les manuelles, qui vous permettront de sélectionner votre collimateur.
    Allez dans les réglages, bouton « i », puis sur « Mode de zone AF »: 
    • AF point sélectif
    • AF zone dynamique
    • AF zone automatique
    Menu d’un Nikon D3100: Mode de zone AF
    Sélectionnez un des deux premiers modes: le premier si votre sujet est fixe, le deuxième s’il est en mouvement. Dans les deux cas, vous aurez le choix du collimateur.
    Une fois le bon mode choisis (tous sauf le mode automatique), le collimateur sélectionné par défaut est celui situé au centre de l’image. Pour en choisir un autre, il suffit de le selectionner en utilisant le « pavé multi-directionnel » et les touches « haut », « bas », « gauche » et « droite »: la molette qui entoure le bouton « OK ».

    Vous voyez le collimateur sélectionné apparaitre en rouge dans le viseur, vous pouvez donc faire cette sélection sans décoller votre oeil, en pleine action.

    Et même sans regarder l’appareil ou à travers le viseur: avec un peu d’expérience, vous saurez combien de collimateurs possède votre boitier, et où ils se situent précisément. Le choix se fera alors très rapidement, en moins de deux secondes !

    Dernière astuce: un simple appui sur la touche « OK » permet de se remettre sur le collimateur central.

    on 11 février 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with 1 Comment
    Read More »

  • [Photo] Sunshine

    Sunshine #iPhone4S

    on 7 février 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with No Comments
    Read More »

  • Utilisez votre Mac pour déclencher les photos de votre Nikon D3100

    C’est après avoir lu un article sur le site 1point2vue que j’ai été frustré par mon boitier, le D3100. Cette lecture m’a appris que je ne pouvais pas utiliser mon Mac (ou ordinateur) pour contrôler mon Reflex. Je ne crois pas en effet qu’il soit possible de le contrôler à proprement parler. J’entend par là la possibilité de modifier certains réglages, tels que l’ouverture ou la vitesse.
    En revanche, j’ai trouvé une astuce permettant de déclencher les photos à partir du Mac. Manuellement ou périodiquement. Il ne s’agit pas d’un contrôle total mais cela permet déjà d’explorer quelques techniques comme le TimeLapse, la photo d’éclairs (voir le photographe Pyrros) ou de studio. 

    C’est simple, rapide et gratuit. Et cela devrait marcher avec n’importe quel boitier:
    1. Branchez le boitier au Mac (usb)
    2. Allumez le Reflex
    3. Faites vos réglages, composition, mise au point…
    4. Ouvrez « Transfert d’images » sur votre Mac
    5. Allez dans « Fichier », puis « Prendre une photo »
    6. Déclenchez en appuyant sur la barre d’espace ou sur « retour ».

    À l’étape 5, vous avez cette fenêtre à l’écran:
    Transfert d’image sur Mac: Prendre une photo
    Vous pouvez donc choisir entre « Manuel », où vous devez appuyer sur la touche « Retour » pour chaque photo, ou bien « Automatique » en réglant la fréquence à laquelle les photos seront prises.
    Deuxième réglage, la possibilité de télécharger les nouvelles photos directement sur le Mac, dans le dossier de votre choix.
    Une solution certes très sommaire, mais pas moins pratique.

    on 3 février 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with No Comments
    Read More »

  • Mon premier concours photo

    Je vous en ai parlé dans mes articles précédents, j’ai participé à un concours photo organisé par ma commune, Saint Prix (Val d’Oise). Mon premier concours. Le thème était « les couleurs de l’automne », mais une contrainte est venu s’ajouter: la ville devait être reconnaissable.

    Reconnaissable, dans quelle mesure ? Est-ce uniquement pour que le jury s’assure que les photos proviennent bien de Saint Prix, ou est-ce pour utiliser ces photos dans le cadre du site internet de la ville ? Ce n’était pas précisé, et j’aurais peut être dû me renseigner puisque n’importe qui ne reconnaitrait pas Saint Prix sur mes photos (tandis que le jury était capable de confirmer que mes clichés étaient bien Saint-Prissiens).
    Quoi qu’il en soit, je n’ai pas gagné !! Aucune de mes photos n’a été retenue par le jury :(. Ce n’est pas grave, je suis tout de même content d’avoir participé à un concours photo.
    Les Photos Gagnantes
    Il y avait trois principaux prix: le premier prix (le grand gagnant en quelques sortes), le prix du Comité (deux photos) et celui du Maire de la ville (une photo qu’il a lui même choisi). Je vous présente donc les quatre photos gagnantes:
    1er Prix du Jury

    Prix du Comité

    Prix du Comité

    Prix du « Maire »

    Mes Photos
    Et voici mes photos, les quatre que j’avais sélectionnées pour ce concours:

    Bizarrement, ma deuxième photo n’était pas présente à l’exposition. J’espère qu’elle n’a pas été oubliée lors de la délibération ! D’autant plus que je la préfère aux trois autres.
    Celle en noir et blanc ne colle pas au thème du concours, mais représente le patrimoine environnemental de Saint Prix. Je savais qu’elle n’avait aucune chance, mais je tenais quand même à la présenter.
    Toutes les Photos
    Et pour finir, toutes les photos (veuillez m’excuser pour la qualité, ce n’est pas évident de prendre des photos en photo ^^). Cliquer sur les images pour mieux les voir:

    « Je ne m’attendais à rien, et je suis quand même déçu ». Voilà une phrase qui résume bien ma situation (chapeau à ceux qui en trouveront l’auteur): je ne prétendais pas gagner le concours, mais les photos gagnantes me déçoivent un peu. Mis à part la première (le 1er prix du jury) que je trouve très belle, bien que les couleurs ne soient pas les plus jolies de l’automne.
    La troisième photo, celle où les feuilles sont de couleur rouge, a été sélectionné malgré le bâtiment HLM en arrière plan: cela représente la ville, et finalement, c’était plus important que les couleurs en elles mêmes.
    Quant à la photo choisie par notre Maire, je me demande vraiment où sont les couleurs de l’automne, et surtout ce que fait cette pseudo guirlande de Noël en plein milieu ! 
    C’est dommage parce que je trouve qu’il y a vraiment de belles photos, et d’autres (je ne parle pas des miennes) méritaient plus de gagner, selon moi. Tout est une question de point de vue ! Je le sais et je l’accepte.
    Voilà pour mon premier concours, peut être retenterai-je une prochaine fois. Peut être pas un concours organisé par une ville, mais plutôt par un organisme bien plus proche de la photographie.

    on 3 février 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with No Comments
    Read More »

  • Street Art: les graffitis urbains

    Se lancer des défis ou tout simplement se créer un projet en photo permet de progresser. J’ai donc décidé de me lancer dans la photo d’Art de Rues, et tout particulièrement les Graffitis.
    Depuis « L’Ecole du Micro d’Argent » du groupe marseillais IAM en 1997, je me suis intéressé au Hip-Hop et à sa culture. Il fût un temps où j’y ai même participé, à ma petite échelle.
    L’idée de mon projet est de photographier de beaux graffitis et non de vulgaires tags: des fresques, des dessins, des personnages… Tout ce qui me plaira, tant par le graphisme que par les couleurs. En parlant de pigmentation, je souhaite jouer sur la saturation afin d’obtenir des clichés où seuls les couleurs du graffiti seront visibles, le reste sera en noir et blanc.
    Voyons tout de suite de quoi je vous parle (série faite aujourd’hui même): la 1, 3 et 6 illustrent le mieux mon envie.
    Graffiti #1

    Graffiti #2
    Graffiti #3

    Graffiti #4

    Graffiti #5
    Graffiti #6

    Graffiti #7

    Graffiti #8
    Graffiti #9
    Graffiti #10
    Pourquoi cet effet ? Et bien personnellement, je trouve que nos villes sont parfois un peu ternes, un peu tristounettes. Des briques, du béton, des briques… Du gris, du blanc, du gris… Les graffitis apportent de la gaieté, de la couleur, de la chaleur, du bonheur visuel ! La technique de désaturation partielle est parfaite pour mettre en valeur cet esprit.
    Du coup, mon but n’est pas de prendre en photo les graffitis en gros plan, je n’y vois aucun intérêt. L’idée étant d’accentuer le contraste des couleurs, je vais rechercher des scènes où les graffitis sont « intégrés » à la ville, avec des bâtiments, des ponts, de l’architecture !
    A terme, et je crois bien que c’est mon objectif principal, je souhaite faire ces photos dans Paris: rechercher les plus belles fresques de la Capitale pour les immortaliser.
    Et le petit plus, ce serait de photographier des artistes en pleine action ! J’ai déjà des pistes pour y arriver, affaire à suivre.

    on 2 février 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with 1 Comment
    Read More »

  • Le robinet: symbole du trio Vitesse-Ouverture-ISO

    Quoi de mieux qu’une bonne illustration pour bien comprendre la théorie ? Voilà pourquoi j’ai décidé d’expliquer le fonctionnement du trio Vitesse-Ouverture-ISO à l’aide d’une métaphore. Prendre une photo, c’est un peu comme remplir en verre d’eau: l’eau est la lumière, le verre votre capteur. Quels sont alors les éléments -du robinet, puisque c’est le sujet de la métaphore- qui vont vous permettre de remplir votre verre ?
    Avant toutes choses, une précision sur le terme « vitesse ». On parle de « vitesse d’obturation », mais il s’agit réellement d’une durée. Le terme « vitesse » est employé car il symbolise la vitesse à laquelle le diaphragme va s’ouvrir (début de la photo) puis se refermer (fin de la prise de vue). Il s’agit donc bien d’un temps, exprimé en secondes: le diaphragme est resté ouvert pendant x secondes (vitesse lente = temps long; vitesse rapide = temps court).
    Revenons à notre illustration: le diamètre de votre tuyau représente l’ouverture de votre diaphragme, tandis que le débit représente la sensibilité ISO. La vitesse est symbolisée par le temps que mettra votre verre à se remplir d’eau (la vitesse n’est pas le débit d’eau, comme elle n’est pas la vitesse à laquelle la lumière rentre dans le capteur).
    Pour prendre une photo, vous avez besoin de capter de la lumière. Vous devez remplir votre capteur, un peu comme ce verre que l’on doit remplir d’eau.
    Ici, dans le cas du robinet, le diamètre du tuyau est fixe. Ce qui équivaut à une ouverture de diaphragme fixe. Si ce tuyau était plus gros (ouverture plus grande), pour un même débit d’eau (même sensibilité ISO), le temps que mettra le verre à se remplir sera bien plus court: le temps d’obturation sera donc plus court (vitesse rapide). 
    À l’inverse, si le tuyau était d’un diamètre plus petit, toujours pour un même débit, le verre mettra plus de temps à se remplir. Votre vitesse d’obturation sera donc lente (temps plus important).
    Maintenant, pour un même diamètre de tuyau, si l’on augmente le débit de l’eau, c’est à dire que l’on augmente la sensibilité ISO de notre appareil, le verre se remplira encore plus vite. Ce qui veut dire que la vitesse d’obturation sera plus rapide.

    Vous pouvez aussi raisonner sur la durée de remplissage du verre, soit votre vitesse d’obturation: une fois cette vitesse choisie (le temps pendant lequel vous ouvrez le robinet), en fonction de la sensibilité ISO (votre débit), une seule ouverture du diaphragme (diamètre du tuyau) vous permettra de remplir le verre en entier.

    Vous pouvez maintenant utiliser les modes semis-automatiques (priorité ouverture ou vitesse), l’appareil calculera le deuxième paramètre. En mode Manuel, faites attention: une trop grande ouverture associée à une vitesse lente pourrai faire déborder le verre (trop de lumière, photo sur-exposée); à l’inverse, petite ouverture et vitesse lente ne rempliront votre verre que partiellement (pas assez de lumière, photo sous-exposée).

    On pourrai pousser la comparaison un cran au dessus, en comparant la balance des blancs au levier chaud/froid du robinet. Celui ci permet de choisir la température des couleurs captées par votre appareil photo.
    Trouvez vous cette illustration utile (pour les débutants) ou au contraire pensez vous que cela risque de rendre la théorie plus compliquée qu’elle n’est ?

    on 30 janvier 2013
    in Non classé
    by Thomas Benezeth
    with No Comments
    Read More »

« 1 … 38 39 40 41 42 43 »

Réseaux sociaux

Mes Tweets

Livres Numériques

Un oeil sur la photo de rue (Thomas Benezeth):
Télécharger le livre

Bien sauvegarder ses photos (Damien Roué):
Acheter le livre

Catégories (blog)

  • Photo de rue
  • Interview
  • Fujifilm X100s

Archives

NEWSLETTER

Magazine Flipboard !

View my Flipboard Magazine.

©2012-2017 Thomas Benezeth I URBAN PHOTOGRAPHER l Auteur-Photographe

© Mentions Légales
Allez sur la page EBOOK pour télécharger mon livre numérique gratuit intitulé UN OEIL SUR LA PHOTO DE RUE !OkTélécharger le livre